• En réponse au défi que Sasma et moi nous nous sommes lancées, je fais un poème plus poétique que ceux que je fais d'habitude.

    La brume

    Dans cette plaine que rien de vient éclairer

    -Le soleil est désespéré,

    Ma lanterne ne m'est pas d'un grand secours

    La Brume est maîtresse de ce jour.

    On ne distingue rien; seules quelques ombres sont visibles.

    Sont-elles laides à ce point pour se cacher ainsi? Imperceptibles

    Mouvements, cachés dans le manteau de ce Fantôme gris

    Appellé Brouillard. Plaine démunie,

    Envahie par la brume,

    Brume,

    Brume.

     

    Perdule

     


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  • Boofacha

    Boofachat

    Boufe a chat

    Bouffe à chat

    Sheibah, Wiskas, Carrefour, Félix, Gourmet,

    rien ne satisfait

    cette chatte

    ingrate

    que j'appelle

    Mouche.


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  • Gling pour la guitare

    Plic pour la pluie

    et Zip pour la fermeture éclair de mon cartable.

    Mon frère joue de la guitare

    Pour faire tomber la pluie

    Et m'enquiquiner

    Sur le chemin du collège.

    Je ferme mon imper

    Et je me casse vers une mort certaine

    Puisque je n'ai pas fait mes devoirs.


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  • Un poème qui nous dit n'importe quoi, ça changerait, non? Un poème fou comme çe vieux, là, qui m'a fait tourner en bourrique dans mon jeu vidéo, Okami.

    Le vieux fou d'Okami qui invente et dit n'importe quoi

    Enfin bref...

    Laissons là toutes ces futilitées pour le moment et concentrons-nous sur le poème que je viens d'inventer.

    Le poème qui ne veut rien dire 

    Oui, en effet ma chère 

    Les deux sorcières

    Sont entrées par la chattière

    A l’insu de notre mère

    Qui pourtant, ne laisse rien passer

    Pas même le bout du nez paternel, qui, je l’avoue

    Est un peu long à mon gout.

    C’était en fait une énorme aiguillère

    C’était pour cela que mon père avait fait appel aux sorcières.

    Pour son nez.

    Or, ma mère, en voyant le nez paternel relooké

    Poussa un hurlement qui fit s’ébranler les murs de la maison

    Si fort que notre modeste habitation

    S’écroula.

    Un des blocs tomba

    Sur le nez de Papa

    Et lui coupa ce qu’il en restait.

    Il fallut le lui raccommoder

    Avec du joo, li fil doréé.

    Papa avait l’air bien malin

    Avec ce joli fil doré.

    Il fut tellement dégoûté

    Qu’il cassa le fil doré.

    Et maintenant, Papa n’a ni maison ni nez.

    C’est dommage.

    Perdule, le 18\08\2012



    Je sais, c'est du grand n'importe quoi. 


    Sur ces paroles...disons, chaotiques, je vous dis donc,


    La Mandarine qui dit n'importe quoi 




     


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  •  

    Soirée sur la terrasse 

    On se régale d'un bon thé 

    D'un café un poil sucré 

    Sur les plats, plein de gâteaux 

    Dans les mains, des chocolats chauds 

     

    La brise souffle doucement 

    Sur les gens un peu bruyants 

    On parle, on ragote, papote, rit... 

    Et pendant ce temps, tout refroidit. 

    Perdule, le 29/06/2012 


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