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Par Perdule le 2 Décembre 2012 à 19:14
En réponse au défi que Sasma et moi nous nous sommes lancées, je fais un poème plus poétique que ceux que je fais d'habitude.
La brume
Dans cette plaine que rien de vient éclairer
-Le soleil est désespéré,
Ma lanterne ne m'est pas d'un grand secours
La Brume est maîtresse de ce jour.
On ne distingue rien; seules quelques ombres sont visibles.
Sont-elles laides à ce point pour se cacher ainsi? Imperceptibles
Mouvements, cachés dans le manteau de ce Fantôme gris
Appellé Brouillard. Plaine démunie,
Envahie par la brume,
Brume,
Brume.
Perdule
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Par Perdule le 16 Novembre 2012 à 17:50
Boofacha
Boofachat
Boufe a chat
Bouffe à chat
Sheibah, Wiskas, Carrefour, Félix, Gourmet,
rien ne satisfait
cette chatte
ingrate
que j'appelle
Mouche.
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Par Perdule le 4 Novembre 2012 à 13:23
Gling pour la guitare
Plic pour la pluie
et Zip pour la fermeture éclair de mon cartable.
Mon frère joue de la guitare
Pour faire tomber la pluie
Et m'enquiquiner
Sur le chemin du collège.
Je ferme mon imper
Et je me casse vers une mort certaine
Puisque je n'ai pas fait mes devoirs.
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Par Perdule le 16 Août 2012 à 19:48
Un poème qui nous dit n'importe quoi, ça changerait, non? Un poème fou comme çe vieux, là, qui m'a fait tourner en bourrique dans mon jeu vidéo, Okami.
Enfin bref...
Laissons là toutes ces futilitées pour le moment et concentrons-nous sur le poème que je viens d'inventer.
Le poème qui ne veut rien dire
Oui, en effet ma chère
Les deux sorcières
Sont entrées par la chattière
A l’insu de notre mère
Qui pourtant, ne laisse rien passer
Pas même le bout du nez paternel, qui, je l’avoue
Est un peu long à mon gout.
C’était en fait une énorme aiguillère
C’était pour cela que mon père avait fait appel aux sorcières.
Pour son nez.
Or, ma mère, en voyant le nez paternel relooké
Poussa un hurlement qui fit s’ébranler les murs de la maison
Si fort que notre modeste habitation
S’écroula.
Un des blocs tomba
Sur le nez de Papa
Et lui coupa ce qu’il en restait.
Il fallut le lui raccommoder
Avec du joo, li fil doréé.
Papa avait l’air bien malin
Avec ce joli fil doré.
Il fut tellement dégoûté
Qu’il cassa le fil doré.
Et maintenant, Papa n’a ni maison ni nez.
C’est dommage.
Perdule, le 18\08\2012
Je sais, c'est du grand n'importe quoi.
Sur ces paroles...disons, chaotiques, je vous dis donc,
La Mandarine qui dit n'importe quoi
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Par Perdule le 29 Juin 2012 à 16:14
Soirée sur la terrasse
On se régale d'un bon thé
D'un café un poil sucré
Sur les plats, plein de gâteaux
Dans les mains, des chocolats chauds
La brise souffle doucement
Sur les gens un peu bruyants
On parle, on ragote, papote, rit...
Et pendant ce temps, tout refroidit.
Perdule, le 29/06/2012
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